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| Des graffitis et des tags ici sur les murs de la salle Laloubère (photo média40500), mais aussi entre autres sur un abris-bus et une cabine téléphonique... |
Dans une communication récente, la Gendarmerie indique qu'elle a retrouvé les auteurs des graffitis de février à avril dernier sur des biens publics et privés et des bâtiments communaux. La salle Laloubère avait été également dégradée pendant cette période (relire l'article média40500 du 4 mars).
Les deux mineurs en cause seront convoqués le 6 juillet prochain "devant le Procureur de la République pour une réparation pénale assortie de trois jours de travail d'intérêt général" indique le communiqué.
Les forces de l'ordre qui rappellent au passage les peines encourues au niveau pénal pour ce genre "d'art": une amende pouvant aller de 1.500 à 30.000 euros en fonction de la gravité des dommages. Une peine d'intérêt général est aussi possible s'il s'agit d'un bien public. L'auteur risque également "jusqu'à 2 ans d'emprisonnement (Article 322-1 du Code Pénal)". Et si la teneur des inscriptions relève de la diffamation ou de l'incitation à la haine, les écrits constituent également un autre délit, sans compter une condamnation à réparer les dégradations commises. - OM
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